Parmi les points qui seront
débattus lors du Conseil municipal et sur la base de nos seules informations,
nous avons déjà noté les points suivants.
« Grand » panique à bord
A propos du Grand Paris, on
imagine bien que c’est « panique à bord », à 15 jours de sa mise en
place, pour Argenteuil comme bien d’autres villes. La Ville a semble-t-il
urgemment besoin d’ « assistance ». Une délibération porte sur ce
sujet.
A
combien va se monter le coût de cette assistance ?
Cela
représente combien de coffrets de fin d’année pour les anciens, qui ne les
recevront pas ?
Debout les morts, et les vivants !
Les tarifs des cimetières doivent
augmenter notablement. Nous avons entendu parler de 20 %.
La
municipalité s’attaque à tous, aux vivants et aux morts.
Ce
n’est pas une découverte, mais la délicatesse n’est pas son fort.
Aider une Ecole déjà favorisée, non !
Est-ce sa façon de fêter en ce
mois de décembre les 110 ans de la loi sur la « Séparation de l’Eglise et
de l’Etat » du 9 décembre 1905 ?
En
tout cas, un point porte sur le subventionnement par la Ville des sorties
scolaires des établissements de la Ville.
Pour
les établissements publics, cela va de soi. Mais pourquoi la municipalité
veut-elle faire bénéficier également de cette aide les établissements privés de
la commune ? Ce n’est même pas une obligation légale, à la différence du
subventionnement de la présence d’enfants du primaire dans ces établissements,
autre point à l’ordre du jour.
Chacun
peut observer localement l’approfondissement du fossé qui existe entre les
établissements du public et ceux du privé, malgré les efforts sans fin des
personnels.
Une
municipalité au service de tous aurait à cœur, au moins sur ce plan, de
favoriser ne serait-ce qu’un peu les écoles publiques, dont par ailleurs elle a
la charge.