samedi 23 novembre 2013

Agenda militant des conseillers municipaux Lutte Ouvrière d'Argenteuil

Mardi 26 novembre :
Manifestation à l'appel de la CGT : sur Paris, 13 heures, métro Chaussée d'Antin, sur les "retraites", les salaires, l'emploi (voir ci-dessous)

Mercredi 27 novembre :
Non à la hausse des effectifs par classe dans l'Education publique :
13 heures 30 Université de Nanterre
Dimanche 1er décembre :
Manifestation parisienne des salariés : "Impots, c'est au grand patronat de payer, pas aux travailleurs"

Et c'est aussi une activité militante :
CONSEIL MUNICIPAL D'ARGENTEUIL
LUNDI 9 DECEMBRE à 19 heures

En préparation, vente des billets d'entrée

BANQUET – FETE des amis de Lutte Ouvrière
A ARGENTEUIL
DIMANCHE 26 JANVIER
A partir de 12 heures
Complexe Jean Vilar

Retraites : notre mobilisation, tot ou tard remettra en question tous les reculs

Retraites : Je me rendrai à la manifestation initiée en particulier par la CGT mardi 26 novembre qui partira à 13 heures de la Chaussée d’Antin. Voir ci-dessous l’article de notre hebdomadaire de cette semaine. DM

26 novembre, le projet gouvernemental à l'Assemblée : Non aux attaques contre les retraites !

Malgré les manifestations et protestations, depuis trois mois le gouvernement Hollande-Ayrault persiste à vouloir imposer sa réforme des retraites, qui doit porter progressivement à 43 années de cotisations le droit à une retraite à taux plein.
     Voté de justesse à l'Assemblée nationale en octobre, le projet de loi a été rejeté par le Sénat le 6 novembre. Il reviendra sans modification le 26 novembre devant l'Assemblée où les députés socialistes sont majoritaires, puis il devra être à nouveau soumis au vote des sénateurs.
     L'adoption de cette loi signifiera, en fait, la disparition du droit à la retraite à taux plein, même à 62 ans, âge imposé par Sarkozy et maintenu par Hollande. Avec le chômage de masse, personne dans l'avenir ne réussira à travailler et à cotiser 43 années, et en tout cas pas avant 62 ans.
    Le gouvernement Hollande le sait fort bien, mais il choisit d'aider et de rembourser les marchés financiers en faisant payer les retraités comme toute la population.
« Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère. On n'en veut pas de cette société-là », dit le slogan. C'est aux capitalistes de payer leur crise. Il faut le retour à la retraite à 60 ans après 37,5 années de travail et de cotisations en garantissant des pensions à taux plein et l'embauche des jeunes.
     Mardi 26 novembre, les syndicats CGT-FO-FSU et Solidaires appellent à manifester. Ils se contentent malheureusement de réclamer des négociations et de « s'adresser aux parlementaires pour qu'ils entendent les salariés », alors que c'est une mobilisation générale du monde du travail contre le gouvernement Hollande et sa politique qu'il serait nécessaire d'organiser.
      Cette mobilisation viendra des travailleurs eux-mêmes tôt ou tard, mais le plus tôt sera le mieux. Quoi qu'il en soit, tous ceux qui saisiront l'occasion de la manifestation syndicale, le 26 novembre, pour exprimer leur protestation auront raison de le faire. En Ile-de-France, une manifestation est prévue ce jour-là à 13 heures, du métro Chaussée-d'Antin à l'Assemblée nationale, et en province des rassemblements sont prévus devant les préfectures.

                                                                       Louis BASTILLE


Emploi : la fièvre monte, on casse le thermomètre et un médicament


Précarité : une précarité permanente...

Selon les données publiées par le ministère du Travail, le nombre de CDD de courte durée a explosé ces dernières années. En dix ans, le nombre de CDD de moins d’un mois a plus que doublé, passant de 1,8 à 3,7 millions. Dans les entreprises, les travailleurs précaires sont devenus la variable d’ajustement à laquelle on fait appel pour quelques jours, voire quelques heures de travail.
     Cela s’inscrit dans le recul général des conditions d’emploi, auquel le gouvernement socialiste contribue avec des lois comme l’Ani, taillées sur mesure pour aider le patronat à exploiter ses salariés et à les jeter à la rue quand il le décide.

…un controle de moins en moins possible

Le budget 2014 prévoit la suppression d’un total de plus de 200 postes dans les directions départementales du travail. Ce sera 174 postes également en moins en 2015.
Ces fonctionnaires ont pour mission, entre autres d’assurer le contrôle de l’application des règles en droit du travail.

     Inspection du travail, personnel du ministère de l’emploi sont ainsi dans le viseur du gouvernement… au plus grand profit du patronat.

Pinault a les moyens de payer

Les travailleurs de La Redoute – dont le trust Kering, qui appartient à Pinault, souhaite se débarrasser – manifestaient hier à Paris. Des salariés d’un théâtre parisien, qui appartient aussi à Kering et où un plan de suppressions d’emplois est engagé, manifestaient à leurs côtés. L’arrogance du milliardaire Pinault étant visiblement proportionnelle à sa richesse, ces travailleurs se sont vu proposer… un reclassement à la Redoute ou d’aller faire les vendanges dans les vignes de Pinault.

     « Pinault, on va se payer le luxe de ne rien lâcher, ton pognon tu vas le cracher », pouvait-on lire sur la pancarte d’une des manifestantes. On ne saurait mieux dire !

vendredi 22 novembre 2013

Education : défense de l'Ecole, c'est prioritaire

Suite à la réunion qui s'est tenue mardi dernier et qui a porté sur la hausse des effectifs dans les classes des établissements scolaires du "bassin" d'Argenteuil, il a été décidé de se rendre à l'Université de Nanterre (batiment B2) mercredi 27 novembre, à 13 heures 30, au moment où doivent se réunir les "assises académiques de l'éducation prioritaire". Cela avec le soutien de la CGT-Education, du SNES, de la FCPE et de la PEEP. 
      Comme de bien entendu, pour ma part, je me rendrai à ce rassemblement.


LISEZ LES PAGES SUIVANTES DE CE BLOG ACTUALISE  CHAQUE JOUR. Patrice CRUNIL et Dominique MARIETTE

Dassault : non au licenciement

Nous avons reçu l’information suivante que nous transmettons ici bien volontiers :

Un militant CGT de chez Dassault-Saint-Cloud, Claudio Calfuquir, salarié chez Dassault-Aviation depuis 8 ans, a été licencié le 7 mai dernier, suite à ce qui s’apparente à une machination dans le cadre de la condamnation d’un militant UMP  qu’il a obtenue dans une affaire extérieure à l’entreprise. Quand on connait les liens anciens entre ce parti et la famille Dassault, cela n’est pas pour étonner. DM
       Un comité de soutien s’est mis en place. Une pétition circule. Pour toute information supplémentaire et contact :

C.G.T et UGICT/C.G.T Dassault Argenteuil 1 Avenue du Parc 95100 Argenteuil          
 Tel : 01.34.11.82.76            Fax : 01.39.47.43.67                                                                                                
 Site Internet: WWW.cgt.dassault.free.fr

Banquet 2014 à Argenteuil des amis de Lutte Ouvrière



BANQUET – FETE des amis de Lutte Ouvrière
A ARGENTEUIL
DIMANCHE 26 JANVIER
A partir de 12 heures
Complexe Jean Vilar
Son célèbre apéro
L’intervention d’un porte-parole national du parti
Son banquet
Après-midi dansante
Espace enfants maquillage
Librairie
Stand de fabrication de badges
Stand gâteaux-champagne (payant)

A 15 heures30
Conférence scientifique
Animée par Marc Peschanski,
biologiste et neurophysiologiste, spécialiste des maladies neurodégénératives et des cellules-souches


Billets d’entrée en vente : 13 euros, demi-tarif pour les enfants de 5 à 14 ans ; auprès des militants ou en contactant par courrier ou internet D MARIETTE

Interdiction des licenciements

Selon le bilan annuel de la Coface, un organisme d’état assureur-crédit, 43 981 entreprises ont déposé le bilan en France au cours des douze derniers mois. C’est 2% de plus qu’en 2009, déjà catastrophique pour la production industrielle.
      Parmi elles figurent de petits artisans et commerçants, qui subissent les effets de la crise et ferment, faute de clients. Mais les grandes entreprises, de la Société Générale à Alcatel-Lucent, en passant par la Redoute ou Thalès, qui annoncent presque chaque jour des fermetures de sites et la suppression de centaines d’emplois, ne sont pas, elles, des victimes de la crise. Elles en font peser le poids sur les travailleurs pour sauver – voire augmenter – les profits.

      Pour stopper cette catastrophe, il faut imposer l’interdiction des licenciements et le partage du travail entre tous, sans diminuer les salaires. L’argent existe, dans les coffres forts des banques et du grand patronat.