Une confusion municipale entre le « certain » et le « on verra »
Pour contrer les opposants au projet Fiminco de liquidation d’une salle des fêtes Jean Vilar, communale, et à la discrétion totale de la municipalité, l’actuelle municipalité affirmait comme une certitude que dans la nouvelle salle privée prévue dans le projet du promoteur, 200 jours seraient réservés si nécessaire à la discrétion des initiatives municipales.
Cela était dit comme une certitude. En conséquence, Xavier Morin, un conseiller municipal membre du groupe d’opposition des élus socialistes et écologistes d'Argenteuil a tenté de récupérer la convention concernant cette disposition contractuelle.
Conclusion, s’il y a bien eu apparemment des discussions sur la question et sur ce type d’engagement, il n’y a pas plus de contrat signé que de beurre en broche. L’affaire n’a jamais été conclue et ne le sera dit-on que lorsque la vente sera actée.
Affirmer quelque chose comme une certitude alors qu’elle n’est qu’en pourparlers, cela s’appelle comment ? DM
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