Un crime d’État couvert par De Gaulle
Une Assemblée Nationale clairsemée a voté jeudi 28 mars un texte demandant au gouvernement d’instaurer une journée de commémoration pour le massacre des Algériens à Paris le 17 octobre 1961. Lors de cette manifestation des Algériens contre le couvre-feu qui leur était imposé, la police « républicaine » s’était déchaînée, faisant des dizaines, voire des centaines, de morts et de blessés.
Macron, et Hollande avant lui, avaient déjà reconnu les faits et rendu hommage aux victimes, tout en rejetant la responsabilité sur Maurice Papon, ancien haut fonctionnaire du régime de Vichy alors préfet de police de Paris.
En réalité, le massacre du 17 octobre à Paris était un des nombreux massacres qui ont marqué la sale guerre coloniale menée contre le peuple algérien par les gouvernements d’alors, y compris celui présidé par le socialiste Guy Mollet, avec un certain Mitterrand à la Justice.
Les prochaines permanences prévues à Argenteuil :
-Aujourd’hui dimanche 31 mars : de 10 h.15 à 10 h.55, devant Intermarché du Centre ;
-de 11 h. à midi, marché Héloïse ;
--Lundi 1er avril : de 18 à 19 heures, centre cl des Raguenets à Saint-Gratien ;
-Mercredi 3 avril : de 11 h.30 à midi, marché des Champioux.
Toutes les semaines, l’hebdomadaire Lutte ouvrière est aussi en vente à la librairie Le Presse-papier et au Tabac-Presse du mail de la Terrasse du quartier du Val-Nord que nous remercions.
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