Un dur bilan… social
Début février, la ville chilienne de Viña del Mar a été ravagée par des incendies qui ont fait 131 morts et des centaines de disparus.
Ce sont les zones les plus fragiles, dont 23 bidonvilles sur 99, qui sont parties en fumée. Leurs habitants ont payé de leur vie le délabrement des services publics : insuffisance des effectifs de pompiers, routes trop étroites et trop détériorées pour les services de secours, manque d’entretien de la végétation...
Le bilan de cette catastrophe naturelle est aggravé par les manquements d’un État et l’anarchie d’un ordre social qui ne servent que les riches.
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