« Qui sème la misère, récolte la colère »
Un syndicat étudiant lance de nouveau l'alerte sur les conditions de vie des étudiants. Près d'un sur cinq ne mange pas à sa faim. Les étudiants boursiers, qui bénéficient d'un repas à un euro dans les restaurants universitaires, sautent plusieurs repas par semaine. Les étudiants non-boursiers paient leur repas 3,30 euros et 16 % ne pas mangent à leur faim.
La précarité de la vie étudiante n'est pas nouvelle mais elle s'aggrave avec l'inflation. « Qui sème la misère, récolte la colère » : ce vieux slogan des manifestations étudiantes est de plus en plus à l'ordre du jour !
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