Si loin de ses origines véritablement mutualistes
La Maif a été condamnée à verser 40 000 euros d'indemnités à une de ses employés, licenciée pour une prétendue faute grave.
La salariée, débordée de travail du fait des absences non remplacées, aurait été expéditive avec certains assurés. Mais c'est grâce à un logiciel de surveillance, dont les travailleurs n'étaient pas informés, que ces reproches ont pu être formulés.
C'est illégal. Mais des employeurs sont prêts à tout pour imposer des conditions de travail insupportables, qu'eux-mêmes ont mises en place.
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