jeudi 24 août 2023

Le blog Lutte ouvrière d’Argenteuil prend des vacances. Il en profite pour vous proposer de bonnes lectures (23) : Une amitié, Silvia Avalone, Liana Llevi

Prendre l’air, respirer, faire un break. Quelques jours encore.

 

Un peu d’espace

Eh oui, il en avait bien besoin. Une année active derrière nous. Une autre semblable, voire encore davantage nous espérons, cela signifierait que les combats avancent. Mais un petit temps de repos ne lui fera pas de mal. Reprise : le samedi 26 août au matin. Bien sûr, si des évènements de grande importance l’exigeait, il reprendrait ponctuellement son service. En attendant, chacun dispose de notre site à l’échelle du pays qui lui ne prend pas de vacances : lutte-ouvrière.org .

         Chaque jour néanmoins, vous trouverez sur lo argenteuil un conseil de mes très bonnes lectures de ces deux dernières années.

         Pour terminer, bonnes vacances à ceux qui filent vers l’ailleurs, courage et tranquillité aux autres qui restent at home. Et comme je le dis chaque jour sur Facebook, en le pensant vraiment, Salut et fraternité. Dominique

 

Les prochaines permanences prévues :

-Demain vendredi 25 août, de 17 h.15 à 18 heures 15.

-Samedi matin 26 août, de 11 h. à midi au marché Joliot-Curie ;

-Dimanche 27 août, de 10 h.15 à 10 h.55 devant l’Intermarché du Centre ;

-et de 11 h. à midi au marché Héloïse ;

-Vendredi 1er septembre, de 17 h.15 à 18 heures 15.

Toutes les semaines, l’hebdomadaire Lutte ouvrière est en vente au Presse-papier.

 

 

Une amitié, Silvia Avalone, Liana Llevi

 


 

Voilà un roman italien, bien italien et de la meilleure veine. Comme le titre l’indique, l’histoire d’ « Une amitié ».

         Celle entre deux adolescentes quelque peu dissemblables. L’une, discrète, d’une famille tuyau de poêle, l’autre d’une autre famille, différente, mais qui l’est finalement tout autant : sa mère veut que sa fille devienne un mannequin reconnue sinon une égérie, ce qu’elle deviendra.

         Une amitié difficile entre deux caractères bien différents, l’un effacé donc, celui d’Élisa, l’autre si flamboyant, celui de Béatrice.

         Et l’Italie, dans cette petite ville de Toscane de bord de mer. Une évocation qui nous rappelle bien d’autres bons romans sans que cela nous gêne, avec un petit air de réalisme italien de bon aloi. C’est vrai on en redemande d’autant plus que c’est un vrai roman.

 

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