Petit recette triste
Au fait, les locaux de la rue de Diane sont à nouveau disponibles quand ?
Dans l’opération de liquidation du Centre d’Hébergement d’Urgence, la municipalité s’appuie sur l’état déplorable du Centre mis en évidence par des visites de contrôle de l’hygiène et de la sécurité.
Un nouvel exemple d’un procédé inacceptable : laisser se dégrader un lieu pour ensuite lui trouver mille défauts.
C’est ce qui s’est passé pour la salle Jean Vilar, dont le suivi régulier et la rénovation ont été abandonnés décennie après décennie par les municipalités successives. Et les locaux de la rue de Diane ? Et ceux du Centre Technique Municipal de la rue Pierre Guienne ? En cherchant bien on en trouverait d’autres exemples.
Dans un cas comme dans l’autre, la seule politique qui vaille est celle de la rénovation et du contrôle de la population avant qu’il ne soit trop tard. DM
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