« On a eu le fromage et une bonne partie du dessert »
Suite aux deux réunions de négociations NAO, la direction ne lâchait que 6 % avec un talon de 130 euros, en disant qu’on ne pouvait pas avoir « fromage et dessert », et que la 3ème réunion prévue était annulée.
Cela ayant été ressenti comme une provocation par les travailleurs à la production, qui demandaient 200 euros mini, la grève commencée le 16 janvier continuait avec un piquet. Si bien que le 23 janvier, la direction générale remettait le couvert en mettant en place finalement une 3ème réunion. Au cours de celle-ci, elle a lâché 160 euros de talon dès février, monté à 170 euros en juillet.
Contents d’avoir fait reculer le patron, les grévistes ont repris le travail.
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