Des économies de matériel réalisées pour maximiser les profits
Treize ans après le crash du vol Rio-Paris, dans lequel 228 personnes étaient décédées, le parquet s’est rangé du côté d’Airbus et d’Air France laissant entrevoir leur relaxe à l’issue du procès.
Toutes les manœuvres de ces deux grandes entreprises pour retarder le procès et dégager leur responsabilité semblent aboutir. Les pilotes rendus pourtant incapables de maîtriser leur avion en raison du dysfonctionnement de sondes mesurant la température et l'altitude, et morts dans la catastrophe, deviennent les boucs-émissaires dédouanant les économies de matériel réalisées pour maximiser les profits.
Les proches et les familles ont de quoi être révoltés.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire