dimanche 26 juin 2022

Argenteuil, Hunedoara, Alessandria, Clydeban,... , un gala bien plus restreint

 

Ils ont dû être très déçus

 


Tout ce qui facilite le contact entre les peuples d’ici et d’ailleurs devrait être encouragé. Ils aident à bien des choses. C’est le sens, parmi d’autres initiatives, des opérations de jumelage. À Argenteuil, ces dernières sont largement au point mort. Une des rares initiatives en la matière est depuis une quinzaine d’années la venue de compagnies de danse de diverses villes avec lesquelles Argenteuil, à ce qu’on le sache, est toujours jumelée.

         Cette année, le gala de danse international a bien eu lieu. Mais avec la désaffectation actuelle de la salle Jean Vilar, il a eu lieu dans la petite salle de l’Atrium qui parmi ses défauts, possède une scène à problème et une contenance très limité. Changement d’échelle entre les 1000 places du complexe de bord de Seine et l’Atrium avec ses 250 places.

         Pour les danseuses et danseurs venus d’Italie, d’Écosse, de Roumanie, ou encore du Portugal, et qui étaient déjà venus danser à Argenteuil, cela a dû provoquer une profonde déception.

         Une nouvelle raison, n’en déplaise à quelques membres grincheux de la municipalité, de se battre pour la restauration ou la reconstruction d’une salle des fêtes de dimensions identiques, et demeurant salle municipale à la disposition de tous. DM

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