Mais que craignent-ils ?
Une nouvelle fois, le conseil municipal du septembre se tiendra à huis clos. Le Covid a vraiment bon dos. Il est possible de concentrer 28 élèves par classe dans une salle d’école primaire de la Ville. Il est possible d’aller au cinéma, mais en revanche, il n’est possible d’assister au médiocre spectacle donné à Argenteuil par le conseil municipal de la Ville.
Vraiment que craignent-ils ? Des horions qu’ils auraient mérités ? Des cris : « Défense de Jean Vilar », « Ah bas le projet Cap Héloïse », « Non à la loi des promoteurs » ?
La « publicité des débats » fut un des axes des revendications et du pouvoir de la bourgeoisie, à l’époque, où après 1789, elle fut portée par la Révolution populaire.
Plus de deux siècles plus tard, ses petits héritiers timorés manquent tellement d’ampleur que la seule hypothèse d’invectives justifiées leur fait un effroyable froid dans le dos.
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