Le blog « lo argenteuil » prend des vacances…
Une
bonne adresse : Le Chalet, Les Mouilles, Chamonix
Le blog « lo argenteuil » prend dix jours de vacances. Il n’en a plus pris depuis mi-août 2019. Depuis, chaque jour, il était à la peine. Une peine nécessaire et joyeuse, mais il est épuisé et a besoin de vacances. Ses cinq brèves reprendront du service le dimanche 25 juillet. Néanmoins, chaque jour, il y aura tout de même un conseil de lecture sur mes bonnes lectures effectuées depuis l’été 2020. Et je ne vous abandonne pas. Je ne peux pas vous abandonner. De votre côté, envoyez moi salut et nouvelles. Les messages seront toujours bienvenus, et je vous y répondrai. Salut et fraternité, que ces jours de juillets vous sourient,
Dominique, MDommarie@aol.com, dom mariette, 0699499864
Nos prochains rendez-vous :
Le 11 et 12 septembre, lors du Forum des associations, nous nous retrouverons sur les stands.
Le samedi 18 septembre, rassemblement pour la défense de l’espace Jean Vilar et contre le projet Cap Héloïse
Le jeudi 23 septembre, à 20 heures, grande salle de l’espace Nelson Mandela, une réunion publique-débat de Lutte ouvrière : crise de la société et perspectives pour le « camp des travailleurs »
Bonnes lectures de l’été 2021 (20), Albert Blake, Fiona Kidman, Sabine Wespieser, éditeure
Chaque jour jusque fin août, je vous propose une référence de mes bonnes lectures d’un an, depuis les grands vacances 2020, et celles que je découvrirai lors de mes lectures du présent été. Bonnes lectures donc, et à demain. DM
Immigré ? Forcément coupable
Dans les années 1950, un jeune homme de 20 ans quitte l’Irlande du nord pour la Nouvelle Zélande. Tout émigrant porte l’espoir. Tout immigrant subit le refus et les préjugés d’une fraction inconsciente de la population, même s’il y aura de fortes exceptions pour Albert Blake.
Lorsqu’un pays ne s’est pas débarrassé de la peine de mort, attention à ne pas se trouver au milieu d’un déplorable concours de circonstances. C’est ce qui arrive pourtant pour Albert.
C’est d’autant plus dangereux pour la vie de l’immigrant lorsque la période est propice à toutes les surenchères sur le terrain de l’immigration et de la sécurité. Cela vous fait penser à quelque chose concernant la douce ( !) France, et vous avez raison.
Pris dans la toile d’araignée des préjugés, de la surenchère politicienne, et de la survie de la peine de mort, Albert va être la victime d’un engrenage et d’une fin que l’on imagine.
Certes, mais un grand roman d’une auteure néo-zélandaise, excellemment écrit et propice à bien des réflexions sur la situation d’aujourd’hui.
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