Une corporatiste zélée au service des possédants
C’est le petit canard ?
J’ai déjà évoqué le parcours de Cécile Rilhac passée du gymnase du lycée Georges Braque d’Argenteuil à la salle des sports du Palais-Bourbon. Sans jamais avoir été militante, pour se retrouver députée, elle a bénéficié du quota de Robert Hue, l’ancien dirigeant du PCF rallié à Macron qui a obtenu de cette façon… un élu En marche en 2017.
La présente brève évoque la dernière turpitude de cette dame qui s’est faite le porte-voix zélé de Blanquer.
Son dernier mauvais coup : instaurer un statut des directeurs d’école primaire qui les transforme en chef des enseignants dans les écoles. Déjà, pas joli. Mais, sur sa lancée, elle représentait dernièrement son capitaine Blanquer au congrès de fondation d’un syndicat corporatiste de ces nouveaux directeurs.
Un syndicat corpo de plus me direz-vous. Mais finalement, cela n’étonnera guère tous ceux qui, au lycée Georges Braque d’Argenteuil, se souviennent de cette professeure d’éducation physique, membre déjà d’un syndicat corpo (d’une toute autre tenue toutefois), et défendant avec ses partenaires des intérêts corpo… quitte à ce que cela se fasse aux dépens des autres enseignants. DM

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