Sans liberté pour les Palestiniens, pas de sécurité pour les Israéliens
Sous la pression des États-Unis, le gouvernement israélien a annoncé l'arrêt des bombardements sur Gaza après onze jours de guerre. Le bilan macabre est estimé à 232 personnes tuées à Gaza, dont 65 enfants et douze personnes en Israël. Ce répit, qui reste à confirmer, ne met pas fin à l'oppression des Palestiniens, enfermés à Gaza, spoliés et occupés en Cisjordanie, discriminés en Israël.
Les Palestiniens, mais aussi la population israélienne, sont pris dans l'étau du terrorisme d'État israélien et du terrorisme artisanal du Hamas. Seules la fin de l'oppression des Palestiniens et l'union des travailleurs du Proche-Orient, toutes origines et toutes religions confondues, pourront permettre de sortir de cette impasse sanglante.
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