jeudi 26 novembre 2020

Licenciements, fermeture d’usines, PPG-Bezons, un premier rassemblement

 

208 travailleurs en colère, ce serait une sacrée force

Nous nous sommes retrouvés devant l’entreprise PPG de Bezons. Une heure d’information syndicale avait été prévue à l’entrée de l’entreprise. Une partie notable des 208 travailleurs y ont participé, en particulier pour écouter un avocat.

         Aujourd’hui, les travailleurs sont toujours sous le coup de l’annonce inopinée de la fermeture de l’usine de Bezons de PPG, leader dans la production de peinture, qui n’a pas de problèmes de marchés, mais qui veut simplement augmenter ses profits par la fermeture d’un site, les travailleurs des autres usines subissant à leur corps défendant le maintien de la production globale.

         À 208 travailleurs en colère, les travailleurs de PPG pourraient être une force très importante pour ne pas être les larrons d’une telle politique cynique.

         Et dans les circonstances actuelles de la crise aggravée et des annonces quotidiennes de nombre de licenciements, il n’est pas dit que la colère ne gagne pas vite le monde du travail. Les travailleurs de PPG pourraient alors joindre leur force. Dans ces conditions, face à la colère, les sombres calculs des propriétaires de PPG auraient alors toutes les raisons de risquer de faire chou blanc.

         En tout cas, le combat est devant nous. DM

 

Ils craignent les travailleurs

 


Il y avait trois voitures de police pour un rassemblement dans le cadre d’une heure d’information syndicales ! Mais que craignent les autorités pour avoir envoyé ces effectifs disproportionnés non loin de PPG.

         Un coup de colère des travailleurs ?

         Lorsque des milliers et des milliers de travailleurs entreront dans la lutte pour leur vie, alors oui, la bourgeoisie et ses serviteurs auront tout à craindre.

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire