Ni vu ni connu, j’embrouille…
Le grand trust mondial du ciment,
Lafarge, vient d’être pris la main dans le sac. Des débris polluants de sa
production ont été rejetés dans la Seine à Paris à hauteur de Bercy.
Le
cimentier se défend en parlant de vandalisation d’une installation qui aurait
entraîné ces rejets malencontreux. Tiens, cela nous rappelle à Argenteuil le
grand argument de défense, certes dans un autre domaine, de SFR expliquant la
situation lamentable du réseau fibre qu’elle a installé dans la Ville en
évoquant également des actes de vandalisme !
Sauf
que ce n’est apparemment pas la première fois qu’il est l’objet d’une telle
accusation et rappelons tout de même qu’il n’a pas eu aucun scrupule à négocier
avec Daesh en Syrie il y a quelques années, pour continuer à produire et le
bonheur de ses profits.
Certes,
il n’est pas le seul. Ce genre de pratique est une caractéristique du capitalisme
et des ravages qu’il entraîne, il est vrai, d’habitude loin de Paris, des yeux
et des médias, au milieu des océans ou dans les pays pauvres.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire