Tout va très bien… pour les spéculateurs
« À Wall Street, la crise
est presque finie » titre la presse économique. C’est que la bourse de New
York a retrouvé le niveau record qu'elle avait atteint en février avant
l'épidémie. Un redressement qui s'appuie sur l'envolée des actions des
Facebook, Amazon, Netflix et autre Google.
Les
milliers de milliards d'argent public mis à disposition des capitalistes
alimentent la spéculation sans créer le moindre emploi. Et donc des dizaines de
millions de travailleurs qui ont été licenciés restent au chômage, alors que le
gouvernement envisage de réduire leur allocation de 600 à 200 dollars par
semaine.
De
nouvelles faillites d'entreprises et une nouvelle vague de licenciements sont
annoncées. Aux USA comme partout ailleurs, pour que leur économie de casino
tourne à plein régime, les capitalistes font payer la crise au monde du
travail.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire