Tous les méfaits doivent être mis sur la place publique
L’enquête effectué par le site
d’information StreetPress est reprise par un certain nombre d’hebdomadaires.
C’est le signe de sa crédibilité.
https://www.streetpress.com/sujet/1593693154-violences-policieres-menaces-viol-racisme-enquete-police-argenteuil-castaner-bac
La
situation rapportée est effrayante, au vue du nombre de faits signalés. Cela
laisse à penser qu’il y en a sans doute bien d’autres qui restent dans l’ombre.
Comment
la hiérarchie de la police qui ne peut qu’être au courant de la situation peut-elle
l’accepter ? L’accepterait-elle, comme un « à-côté », sous
prétexte de la répression contre la délinquance, et d’une « certaine »
efficacité de celle-ci ?
Cette
dernière activité est certes un travail guère réjouissant et qui n’aide pas à
l’équilibre et à la retenue de ceux qui l’exercent (Voir le très bon film « Les misérables » de Ladj Ly),
mais peut-on accepter l’idée qu’il soit fait salement ?
L’enquête
de StreetPress démontre également une chose. Que rien ne doit être passé au
silence, mais que tout doit être mis sur la place publique.
Pour
cela également, voilà la démonstration de la nécessité des réseaux
d’information du monde du travail, installés dans les entreprises et les
quartiers populaires tout particulièrement. DM
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