Les licenciements continuent
Après Airbus et Air France, c'est
Aéroport de Paris, ADP, qui annonce des suppressions de postes. Il compte se
débarrasser de 600 travailleurs sur les 6 300 du groupe. Il prévoit aussi
d'imposer un « accord de performance collective » pour celles et ceux
qui resteront dans l'entreprise, assorti de reculs importants sur les
rémunérations et les conditions de travail.
Le
grand patronat en général et celui de l'aéronautique en particulier tranchent
dans le vif pour maintenir leurs profits. Le refus et la mobilisation de
l'ensemble du monde du travail s'imposent.
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