Un drame toujours inacceptable
Un jeune de 18 ans s’est tué dans
la nuit de samedi à dimanche dernier. Il circulait à moto sans casque dans une
rue sur les hauts du quartier des Coteaux.
La
famille et ses proches s’interrogent sur les circonstances exactes du drame.
Il
y a-t-il un rapport avec une présence policière ?
Le
problème avec la police, c’est le manque de confiance d’une large partie de la
population à son encontre. L’État l’entretient non seulement en travaillant la
cassure entre la police et les habitants, et en prenant la responsabilité de la
large impunité en cas de « bavures » venant de cette dernière.
Quant
à la jeunesse, à nous de l’aider à franchir le cap d’une période que chacun
d’entre nous a connue et que personnellement nous n’avons pas oubliée, marquée
par l’attraction des « conduites à risques ».
Lorsque
nous assistons avenue Gabriel Péri à un déferlement de deux roues conduites par
des jeunes sans casque, cela nous inquiète mille fois. Voilà un aspect où le
champ est immense pour des actions de prévention à mener.
On
ne peut accepter l’idée de la mort d’un jeune de 18 ans. Dans tous les cas de
figure, cette idée est insoutenable. Il va falloir surtout beaucoup de courage
à la famille pour l’accepter. DM
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