lundi 9 mars 2020

Argenteuil : votez et faites voter pour la liste « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs », c’est voter aussi pour une travailleuse, Valérie SUAREZ, qui la conduit avec Dominique MARIETTE


Une rencontre emblématique de ce que nous voulons faire

  
                                                            

Ma rencontre avec Valérie SUAREZ est très intéressante, et même emblématique de ce que nous aimerions systématiser dans les temps qui viennent, par la reconstruction dans les quartiers populaires d’un parti des travailleurs, communiste et révolutionnaire, pour laquelle nous agissons.
         Valérie, maman de deux enfants, a 47 ans. Elle est employée, actuellement en poste, après avoir connu les aléas de bien des travailleuses confrontées au chômage.

         Il y a quelques années, je l’ai rencontrée alors que des problèmes importants se posaient dans l’école primaire du groupe scolaire classé ZEP où ses enfants étaient scolarisés. Avec mes camarades de Lutte ouvrière, nous sommes systématiquement attentifs aux problèmes du monde du travail qui se posent dans les entreprises ou dans les quartiers populaires. Je me suis donc rendu à cette école. Il y avait alors un problème de turn-over au niveau de la direction de l’école, et cela entraînait bien des difficultés supplémentaires. Je me souviens de la manifestation que nous avions organisée de l’école à la mairie d’Argenteuil… C’est à cette occasion-là que les liens entre nous ont commencé à se nouer.

         Valérie avait déjà l’habitude de venir à notre fête annuelle de Presles. Elle savait donc ce que nous étions et ce que nous voulions. Petit à petit, ses liens avec Lutte ouvrière se sont approfondis. Elle a rejoint il y a trois ans notre groupe sur Argenteuil. Elle conduit en toute logique conjointement avec moi-même notre liste « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs ».

         Cet itinéraire est emblématique de ce que nous voulons faire. L’élection d’élus des travailleurs, de conseillères et conseillers municipaux en l’occurrence, permettrait de renforcer les points d’appui à toutes les luttes nées dans les quartiers populaires pour résoudre les problèmes rencontrés par le monde du travail. Une dynamique se développerait, retissant les réseaux du parti ouvrier qui manquent cruellement aujourd’hui dans ces quartiers. Dominique MARIETTE

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