Rien de bon pour les travailleurs
A l’annonce du rapprochement
entre Renault et Fiat, le cours de l’action Renault s’est envolé à la bourse.
Les spéculateurs savent ce qu’il y a derrière de tels rapprochements : des
« économies d’échelle », c’est-à-dire des suppressions d’emplois pour
produire autant avec moins de travailleurs ce qui fera autant de profits, et de
chômeurs, en plus.
Au Monopoly
capitaliste, les patrons font toujours passer les travailleurs par la case
surexploitation.
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