Gestion collective nécessaire = se débarrasser du capitalisme
Les experts de l'ONU viennent de
rendre un énième rapport qui pointe l'état catastrophique de la planète :
un million d'espèces pourraient disparaître d'ici peu, soit une sur huit. Les
causes sont connues parmi lesquelles le déversement de produits toxiques dans
les cours d'eau, la déforestation, l'utilisation massive des pesticides et
autres engrais qui font les profits de trusts comme Monsanto-Bayer... Mais il
n'est toujours pas question de contraindre les grands groupes industriels qui
génèrent cette situation.
Rapport
après rapport, conférence après conférence, une seule chose se dégage :
préserver l'avenir de la planète est impossible sans instaurer une gestion
collective des ressources et de la production à l’échelle mondiale, en fonction
des besoins de la collectivité. Mais une telle organisation n’est possible que
si on se débarrasse du capitalisme et d’une concurrence à la recherche du
profit à n’importe quel prix.
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