Ils sont toujours là, leur colère aussi
Plus de 20 000 contrôles
préventifs, 227 interpellations : le gouvernement continue à espérer faire
taire les gilets jaunes à coup de matraque, de grenades et de condamnations
judiciaires.
Ainsi, un
journaliste indépendant, Gaspard Glanz, après 48 heures de garde à vue pour un
doigt d’honneur à destination d’un policier qui venait de le bousculer, s’est
vu interdire de se trouver à Paris le 1er mai et tous les samedis jusqu’à son
procès en octobre prochain.
Malgré
ces mesures d’intimidation répétées, et parfois ridicules, la colère est
toujours là et les gilets jaunes étaient encore plusieurs dizaines de milliers
dans les rues samedi dernier.
Des
photos des Actes de ces dernières semaines de « notre » reporter
Gilet jaune d’Argenteuil
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire