L’exploitation capitaliste, un vol dans le cadre de la loi
Deux mois après l’emprisonnement
de Carlos Ghosn au Japon, l’État français, actionnaire de Renault, se décide
tardivement à le lâcher. La chasse aux successeurs est ouverte.
C’est que
les gros actionnaires veulent pouvoir continuer à encaisser le produit de
l’exploitation des dizaines de milliers de travailleurs travaillant dans les
usines du groupe. Mais sans subir les effets d’une actualité
politico-judiciaire qui éclaire de façon peu glorieuse les pratiques d’un PDG
prétendument emblématique.
Mais
quand une minorité s’approprie des richesses produites par des dizaines de
milliers de salariés, cela s’appelle un vol, même quand cela reste dans le
cadre des lois.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire