Grand et petit représentants de commerce
Tel le sparadrap du capitaine
Haddock, Alexandre Benalla continue d'agacer Macron. Ce nervi joue, parait-il,
depuis son éviction de l’Élysée, voire avant, les intermédiaires entre des
sociétés privées et des dictateurs africains comme le tchadien Idriss Déby.
Pour faciliter ses voyages d'affaires louches et accessoirement pour éviter les
contrôles, Benalla se sert des passeports diplomatiques que les autorités lui
avaient attribués et qu'il n'a pas restitués. Benalla représentant de
commerce ? En la matière il n'arrive pas à la cheville de Macron qui lors
de ses voyages joue les VRP de luxe pour les grands groupes français, les
Dassault, Bouygues et autre Bolloré.
De
Benalla à Macron, les capitalistes ne manquent pas de serviteurs pour leurs
magouilles.
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