Un devenir des « Bluecar » qui donne le blues
Bolloré a jusqu’à demain pour
dégager les 4000 véhicules « Bluecar » de son réseau Autolib’.
La
question est de savoir ce que ces voitures vont devenir.
Selon
LCI : « Une chose est sûre
cependant, la grande majorité des voitures finira à la casse. Alors même
qu’Autolib vivait ses dernières heures, des centaines de véhicules étaient déjà
acheminés dans une usine de recyclage automobile à Romorantin-Lanthenay, une
commune située dans le Loir-et-Cher, à deux heures de route de la capitale. Au
début du mois d’août, le site ressemblait à un cimetière de Bluecar. Des
employés d’Autolib’ ont confié à TF1 que près de 2700 voitures seraient ainsi
détruites. Elles doivent être démantelées et certaines pièces récupérées, comme
les batteries qui représentent selon l’entreprise entre 30 et 50% de la valeur
du véhicule. »
Il n’y a rien à ajouter : un grand gâchis de travail
humain.
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