365 jours par an, il s’en moque éperdument
Le premier ministre a déclaré que
le « respect des usagers » des transports passait avant le respect du droit de
grève. Il voudrait que ses mauvais coups contre les cheminots passent sans
réaction de leur part. C'est raté !
Et
surtout, il se moque en réalité conditions de transport des usagers. Car la
dégradation des conditions de travail des cheminots et l'ouverture à la
concurrence des chemins de fer augmenteront le prix des billets et se
traduiront par une dégradation encore pire des conditions de confort et de
sécurité. Les cheminots veulent mettre un coup d'arrêt à toute cette politique.
Leurs intérêts et ceux des usagers convergent.
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