Quand on ne veut pas voir…
Nous avons déjà évoqué l’algarade
prononcée par Georges Mothron suite à l’intervention de Frédéric Lefebvre-Naré,
la traitant de « misérabiliste » et évoquant Zola d’une manière guère
sympathique.
Georges
Mothron a grandi comme nous même à Argenteuil, et comme nous-même a pu voir le
recul de la situation générale de la population, lié à tous les facteurs que
chacun connaît.
Lorsque
les services publics nécessaires à la population se sont dégradés de la façon
que l’on connaît, c’est sans conséquence ?
Le
recul de l’emploi ?
De
la situation des écoles ?
Celle
de la jeunesse ?
Des
retraites ?
Et
cela n’a pas cessé. Et cela continue de se dégrader.
Bien
évidemment, cela n’est pas égal, et Georges Mothron, comme nous-même, n’a pas
forcément subi le même recul qu’une fraction très importante de la population.
Ensuite,
au-delà de ce que l’on voit et ce que l’on comprend, il y a, ou pas,
l’empathie, le cœur… Dominique M.
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