C’est pas les cheminots, c’est Bouygues,
Vinci, Eiffage qui croquent les millions
Pour justifier la nécessité de
réformer la SNCF, une ministre explique que la dette coûte l'équivalent de 5
000 euros par minute.
Ça
correspond en réalité à tous les investissements supportés depuis des années
pour le TGV, à tous les marchés juteux offerts aux Bouygues, Alstom et
consorts, sans parler des intérêts à payer aux banques.
Il n'y a
donc aucune raison de faire payer les cheminots, ni la population en général.
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