Ce que le pouvoir fait, la rue peut le
défaire !
Macron a déclaré à propos des
manifestations contre ses ordonnances que « la démocratie ce n’est pas la
rue ». Pour lui, sa position d’élu à la présidentielle l’autoriserait sans
contestation possible à faire reculer les droits des travailleurs de plusieurs
décennies.
Il
ne fut pourtant élu qu’avec 24 % des votants et 18 % des inscrits, ce qui fait
de lui un élu bien peu légitime. En fait, le seul milieu où il est vraiment
soutenu, c’est au Medef.
Après
les « fainéants », Macron place son mépris dans le sillage d’un Juppé «
droit dans ses bottes » et d’un de Gaulle traitant les manifestants de mai
68 de « chienlit ».
Il
devrait aussi se souvenir que et l’un et l’autre ont dû manger leur chapeau…
dans la rue.
Contre
les ordonnances, la lutte continue plus que jamais.
Pour
discuter de tout cela, Lutte ouvrière tient un stand toute la journée de
demain, dimanche 24 septembre, lors de la grande braderie annuelle de Bezons.
Qu’on se le dise ! Venez retrouver et échanger à cette occasion avec nos
camarades !
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