Il faut les moyens nécessaires pour que l’hôpital respire
correctement
Au vu de la diminution du nombre
de lits dans leur service de pneumologie, les responsables de celui-ci, à
l’hôpital Victor Dupuy ont demandé aux médecins de la commune de ne leur
envoyer que les patients prioritaires. Que les autres attendent ou aillent voir
ailleurs.
On
comprend que face à une situation intenable, une équipe médicale soit obligée
d’en venir à cette extrémité et à cette communication en direction du corps
médical local.
On
comprend moins qu’une société aussi riche que la nôtre soit amenée à s’attaquer
de cette façon aux soins pour tous.
La
richesse de la société devrait être utile à satisfaire les besoins de service
public utile à la population.
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