Dans
les médias
Ce matin
Lundi 20 mars
à 07h50
France
Inter : Interview de Nathalie Arthaud
à 08h45
Sud Radio : Interview de Nathalie Arthaud
Vendredi
24 mars
à 07h50
France
Info TV : Interview de Jean-Pierre Mercier
Samedi 25
mars
à 08h40
LCI : Nathalie Arthaud est l'invitée de LCI Matin
Jeudi 30
mars
RFI : Interview de Nathalie Arthaud
à 18h30
Dimanche prochain 26 mars à 15 heures
Venez soutenir notre candidate. Son grand meeting de
campagne aura lieu le dimanche 26 mars, dans 15 jours maintenant, aux Docks de
Paris, à Saint-Denis, près de la Porte de la Chapelle, à 15 heures.
Nous avons réservé un car qui partira à 14 heures ce
jour-là du marché de la Colonie, derrière la gare principale d’Argenteuil. Il faut
vite maintenant réserver sa place ! Le transport est gratuit, et il est
aller-retour !
Pour réserver, me joindre :
06.99.49.98.64.
MDommarie@aol.com
Expropriation
: la réponse à la violence des patrons
Lors de l’émission On n’est
pas couché sur France 2 samedi 10 mars, Nathalie Arthaud a affirmé la
nécessité d’exproprier les patrons des grands groupes pour les contraindre à
maintenir les emplois et augmenter les salaires, « parce qu’on ne peut pas
accepter que quelques grands groupes, quelques grandes fortunes, décident seuls
de ravager des régions entières ».
À la question d’une des
journalistes : « Les exproprier, cela veut dire quoi ? », Nathalie
Arthaud a répondu que les exproprier cela veut dire : « Vous voulez partir,
eh bien partez. Mais nous on garde l’entreprise, les capitaux, les machines, le
savoir-faire, les salariés, car nous sommes capables de faire tourner tout ça ».
Les deux journalistes ont alors réagi par un : « Mais c’est la dictature ! »
« Mais aujourd’hui, c’est la dictature d’une classe capitaliste qui impose
toutes ses volontés et ses choix à l’ensemble de la société », a rétorqué
Nathalie Arthaud.
Cette dictature des grands
groupes s’impose aux travailleurs, mais aussi aux petits agriculteurs, artisans
et petits commerçants. Face au chantage permanent à l’emploi, face à la
violence de la perte de son emploi, c’est-à-dire de ses moyens de vivre et de
faire vivre sa famille, il faut répondre par des mesures autoritaires. Si les
patrons ne veulent pas tout perdre, ils se plieront à la volonté de la
majorité. Le rapport de force dont ils usent et abusent pour imposer le blocage
des salaires, des horaires décalés, une intensification du travail, le travail
du dimanche, doit être renversé pour que la société ne continue pas à s’enfoncer
dans la crise.
Inès
Rabah (Lutte ouvrière n°2537)
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