Petites manœuvres entre amis
Peillon avait disparu des radars
depuis le fiasco de la mise en place de sa « fameuse » réforme des
rythmes scolaires. Evacué du gouvernement, l’ex-ministre de l’Education
nationale avait trouvé une retraite dorée au Parlement européen. Devant
s’ennuyer à Strasbourg, il vient de réapparaître en vue des
« primaires » dites de la gauche.
Une
de ces petites manœuvres en vue du 2ème tour dont le PS a le
secret ?
Le même plat décliné à toutes les sauces
Si Mélenchon s’affirme de la
« France insoumise », Hamon, lui, veut « Faire battre le cœur
de la France".
On
attend les slogans d’accroche de leurs concurrents, de gauche, de droite, ou
d’extrême-droite, mais sans grand risque de se tromper, on peut s’attendre à ce
que « la France » soit déclinée à toutes les sauces. Elle permet
d’ignorer la véritable ligne de fracture de la société, entre d’un côté les exploiteurs
et, de l’autre, les exploités, entre le camp de la bourgeoisie que représentent
tous ces messieurs-dame, et le camp des travailleurs.
En
revanche, « faire entendre le camp
des travailleurs » avec Nathalie Arthaud, c’est net et sans bavure.
Les postes, voilà ce qui les intéresse
Des
notabilités du PS du Val d’Oise, dont le député d’Argenteuil-Bezons P. Doucet,
reprochent à leur secrétaire fédéral, de ne plus vouloir organiser le vote des
militants sur les candidatures aux élections « sénatoriales » en même
temps que celui sur celles des prochaines législatives. Bigre !
On
voit les préoccupations de ces messieurs, à des années lumières de celles de la
population.
Quant
aux actes de forfaiture, c’est tout de même une marque de fabrique des uns et
des autres.
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