Il faut changer le monde
Retour en voiture de Paris hier
au soit, à 21 heures 30, Jaurès, Stalingrad, en longeant le métro aérien.
Partout, sous celui-ci, pour s’abriter de la pluie possible, dans l’ombre, des
centaines et des centaines de matelas, des hommes, des femmes, des enfants, des
familles. Ceux que l’on appelle « les migrants », et qui ont fui les
zones de combat du Moyen-Orient, d’Asie et d’Afrique.
Une
vision intenable. Une réalité qui l’est encore davantage.
Comment
accepter qu’une société aux possibilités si lumineuses puisse continuer à
l’échelle planétaire à engendrer une réalité si sombre.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire