C’était demain hier
Pas de portillon automatique à
franchir. Pas d’inquiétude pour savoir si l’on a oublié ou pas son pass-navigo
pour les uns, pas de confrontation avec une machine automatique de vente pour
les autres, une circulation plus fluide à l’entrée et à la sortie des gares et
des stations de métro, plus d’infractions, plus de contrôleurs. C’est tout de
même bon les transports gratuits.
Avec
la gratuité, les travailleurs produisant les machines et autres portillons
coûteux, produiront d’autres choses autrement socialement utiles. Tout le
personnel de contrôle repeuplera les gares et les rendra à nouveau humaines.
Plus de tickets, pass et autres billets.
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