Quel avenir pour les salariés ?
Les grandes manœuvres s’accélèrent
autour de l’avenir du célèbre voyagiste FRAM, une entreprise fondée en 1949 et
restée plus ou moins familiale. Elle est actuellement en train de déposer son
bilan et vient d’acter sa cessation de paiement.
FRAM,
c’est plus de 600 travailleurs, dont deux, toujours disponibles pour les
demandeurs, dans l’agence d’Argenteuil. Mais il y a aussi des milliers de
travailleurs inquiets hors du pays.
Les
loups sont sur les rangs, en particulier un fond de pension qui serait d’accord de reprendre FRAM, mais seulement, ici, que « 77%
des effectifs actuels, soit 356 CDI et l’ensemble des contrats non
permanents ». Et hors du pays ?
Pas
facile de s’organiser pour réclamer son dû et exiger des garanties pour son
avenir lorsque l’on est éclaté dans un grand nombre d’agences.
Pour
les travailleurs, c’est pourtant la seule solution, avec l’aide des militants
ouvriers locaux.
Salut
chaleureux aux deux employées de l’agence d’Argenteuil.
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