Un triste salon, une triste situation
L’édition de cette année de la
journée « Jobs d’été » a eu lieu hier dans la salle Jean Vilar. Elle
faisait grise mine.
Pourquoi
s’en étonner ?
Le
chômage ne cesse d’augmenter. Alors, comment cela serait-il facile pour des
jeunes qui cherchent des emplois saisonniers d’en trouver ?
Et ce n’est
certainement pas la municipalité d’Argenteuil qui supprime les emplois à tour
de bras qui peut en offrir.
Quant à
la présence de stands de la police et de l’armée, on ne savait vraiment pas que
ces institutions offraient des « jobs d’été ».
Alors, dans
ce salon, il y avait quelques petites offres dérisoires –quelques semaines à
l’occasion du tournoi de Rolland Garros par exemple - mais certainement pas, en
tout cas en nombre, des emplois pour un mois ou deux mois d’été.
En tout
cas, un évènement à l’image de la situation générale à l’échelle du pays comme de
la localité. Une image sombre.
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