dimanche 13 juillet 2014

Argenteuil : Sheila, CAAB, réunion de Lutte Ouvrière


« L’école est finie » : apparemment pas pour certains gosses

Le dernier épisode de la « guerre des boutons » argenteuillaise concerne la venue à Argenteuil de la toujours jeune Sheila.

         Sa venue, prévue par la CAAB, mais annoncée comme quasi annulée par la municipalité d’Argenteuil, doit bien avoir lieu ce jour.

         Le hic, c’est que seulement 500 personnes pourront aller écouter l’ancienne au Figuier blanc, au lieu des 1200 possibles à la salle Jean Vilar. La première salle relève de la CAAB doucétiste et la seconde de la Ville mothronienne !

         Tout cela est bien ridicule et ne serait grave que pour les fidèles de la chanteuse s’il n’y avait derrière des milliers et des milliers d’euros de nos impôts en jeu.

         Mais quand donc la récréation des petits CP va-t-elle être sifflée ?

 

Une date à retenir : le 25 septembre

Ce soir-là à 20 heures 15, les militants de Lutte Ouvrière de la localité reprendront leurs conférences régulières publiques.

 

« La situation sociale et politique actuelle, et la politique des Communistes »

Espace N.Mandéla

87 bd Leclerc

 

Un exposé suivi d’un temps de libre débat

Entrée libre

Mobilisation des personnels !

 

Les intentions de G Mothron concernant la CAAB vont se préciser dans les jours qui viennent, à l’occasion en particulier du conseil municipal de vendredi prochain 18 juillet.

         Nous avons écrit à plusieurs reprises que ce ne sont pas les intérêts de la population qui le guident dans cette affaire. Voilà une nouvelle expérience de la façon très « démocratique » (peu) dont ces gens-là agissent. Mais ce n’est vraiment pas une nouveauté.

         Comme si les difficultés actuelles de la population avaient besoin de cette marche en avant des services municipaux dans un brouillard des plus épais !

         Nous le répétons, cela concerne bien évidemment toute la population, mais les personnels sont en première ligne, ceux de la CAAB bien évidemment, mais également les personnels communaux des deux communes et ceux d’AB-Habitat.

         La riposte de tous ces travailleurs doit s’organiser.

         A jouer avec les allumettes, l’édile local risque franchement de se brûler les doigts.

 

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