Aux États-Unis, dans l’État de l’Oklahoma, l’exécution d’un
condamné à mort, déjà en soi un acte barbare, a mal tourné. Le sédatif qui
devait endormir Clayton Lockett n’a pas agi. Il a repris conscience après
l’injection des produits destinés à le tuer. La suite s’apparente à une séance
de torture à mort.
Les États qui appliquent la peine de mort ajoutent la barbarie
à celle qu’ils prétendent combattre, sans réduire en rien la violence dans la
société.
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