Pour Didier Migaud, président de la Cour des comptes et
ancien député PS, la réduction de la dette publique serait une « absolue
nécessité ». Selon Migaud, pour financer les milliards de nouveaux cadeaux
offerts au patronat, il n’y a pas d’autre solution que de réduire les dépenses
de santé, d’éducation ou de logement social.
La dette sert
encore et toujours de prétexte à des coupes budgétaires aux dépens des services
utiles à la population. Pourtant, si la dette a augmenté de 220 milliards
depuis 2011, les malades ou les élèves n’y sont pour rien. Cette dette a été
créée pour venir en aide au grand patronat et elle a profité aux banquiers.
C’est à eux de la rembourser, pas aux classes populaires.
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