Quand on veut on peut. La
preuve !
La
presse locale a rapporté comment le maire avait fait parvenir par fenwick au
local de son principal rival 25 000 photocopies de factures payées par la Ville. Cet envoi était destiné
à clouer le bec à celui qui l’accuse d’être un mauvais payeur.
Titillé, le maire a donc utilisé les
grands moyens : l’envoi représentait tout de même 50 ramettes de papiers.
Nous devons garder cela en tête lorsque
nous réclamons que l’on mette les moyens pour résoudre tel ou tel problème qui
nous gâche la vie dans le service.
La preuve que contrôler serait
véritablement possible
Toujours
à propos de cet envoi de photocopies de factures payées. Il est bien la preuve
que si l’on voulait financer véritablement les comptes de toutes les structures
de la société, telles, entre autres, celles des municipalités, cela ne voudrait
pas poser de problème.
Si l’on met sans difficulté 25 000
documents sur la place publique, cela signifie que l’on peut mettre tous les
documents à la connaissance de tous.
Logique mutualiste
Entre
la Ville et
l’Agglomération, c’est la valse des réorganisations. On démutualise puis on
remutualise des services, puis cela peut continuer, sans fin.
Mais si on remutualise, c’est que l’on
augmente la charge de travail, voire on la double.
En toute bonne logique, on peut, soit
doubler le salaire de tous les agents concernés, soit doubler le nombre des
agents de ces services.
Travailleurs en galère, augmentons
nos salaires !
Aujourd’hui, ce sont plusieurs centaines
d’euros d’augmentation mensuelle qui sont nécessaires pour arrêter cette marche
en arrière.
Préparer les combats pour ces hausses
substantielles est une priorité pour tous.
Se
serrer les coudes
C’est
connu et dénoncé régulièrement depuis des années, comme dans le privé, dans les
collectivités locales, il y a des cas de
harcèlement d’agents de la part de leur hiérarchie. Cela arrive à la Ville , même si c’est
l’exception.
Dans la quasi-totalité des cas, de fait,
la solution est le départ de l’agent brimé. Quant au chef en question, lui ou
elle reste et peut passer à une autre victime.
A moins de serrer les coudes et de faire
face ensemble.
Les cordonniers sont les plus mal
chaussés. Inacceptable.
La
situation des locaux de la voirie et des bâtiments du centre de la rue Pierre
Guienne est vétuste pour ceux qui y travaillent.
Cela fait des années que l’on parle d’un
nouveau centre. Les municipalités se suivent, mais les locaux restent dans le
même état.
On peut véritablement travailler
correctement dans ces conditions ?
Du personnel en plus et de
l’organisation !
Ces
dernières années, de nombreux matériels de nettoyage ont été achetés par la Ville.
Mais le résultat pour les Argenteuillais
n’est pas au rendez-vous.
C’est vrai que s’il y a des métros
automatiques, il n’y a pas de nettoyeuses du même acabit.
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