Des
milliers de fonctionnaires grecs ont commencé une grève pour s’opposer à la
mise en disponibilité de 25 000 d’entre eux d’ici la fin de l’année, en
particulier dans l’Éducation nationale. Les salariés « mis en
disponibilité » ne touchent que 75% de leur salaire, pendant huit mois
maximum, avant un probable licenciement. Ce chômage forcé s’accompagne de la
fermeture d’établissements scolaires, en premier lieu dans l’enseignement
technique.
Pour satisfaire les banquiers et
financiers internationaux, créanciers de la Grèce , le gouvernement grec n’hésite pas à
saigner à blanc toute la population.
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