Le bilan de l’ANRU est actuellement évoqué à l’occasion
des discussions parlementaires sur le logement.
Dans le cadre d’une « rénovation urbaine »
nécessaire, le principe affiché par la droite d’accord sur ce terrain avec la
gauche, était « un logement détruit, un logement reconstruit ». La
réalité a été bien différente : pour quatre logements dits « sociaux »
détruits, seuls trois logements ont été reconstruits.
Il s’agissait par ailleurs de rénover 500
quartiers à travers le pays. Seuls 100 l’ont été.
La rénovation urbaine, et même avec encore
plus de logements qui manquent cruellement, est une nécessité. Mais avec les
moyens financiers nécessaires. On est loin de cela dans le bilan de l’ANRU.
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