Si le Parlement britannique a voté contre une intervention militaire en
Syrie dans l’immédiat, l’hypothèse reste d’actualité… compte tenu des intérêts
des puissances impérialistes, en particulier de la France, dans la région.
Total a déjà exploité du pétrole et du gaz en Syrie et projetait de faire de
ce pays une base pour l’exportation des hydrocarbures. D’autres groupes, comme
Alstom, Lafarge ou le fromager Bel, présents en Syrie, gardent un œil sur le
« potentiel » que représentent ses 20 millions d’habitants. Les
chantiers de reconstruction offriraient aussi de juteux contrats pour les
bétonneurs.
Derrière les bruits de bottes résonnent toujours ceux des tiroirs caisse.
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