Alors qu’elles font des bénéfices exorbitants et que même la cour des comptes a épinglé des hausses de péages abusives, les Vinci et autres sociétés exploitantes des autoroutes se plaignent de l’augmentation pourtant limitée de la redevance qu’elles reversent à l’Etat.
Comme les bandits de grands chemins du Moyen-âge elles rackettent les passants, en l’occurrence les automobilistes de passage. Mais comme en échange, elles doivent reverser une redevance annuelle à l’Etat, elles ne sont pas contentes.
L’entourloupe est totale lorsqu’on sait qu’une grande partie de ses taxes leur reviennent ensuite car elles servent à financer de nouveaux travaux autoroutiers dont les sociétés en questions sont chargées, moyennant rétribution.
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