En
prononçant un non-lieu, la « justice » a enterré l’étude des
responsabilités policières dans la mort d’Ali Ziri en juin 2009.
La famille de ce retraité algérien mort
suite à un contrôle routier de police ne l’entend pas de cette oreille. Pour
son avocat, « il est inconcevable qu’un homme de 69 ans décède alors qu’il
est entre les mains de la police française et que cela ne fasse pas l’objet
d’une instruction judiciaire comme toutes les autres affaires. Ce d’autant
qu’il s’agit de la police ». En conséquence, la famille a décidé de se
pourvoir en cassation
Mais cette procédure est très coûteuse.
Une souscription est lancée. Il s’agit de libeller les chèques à l’ordre de
« ATMF Solidarité Ali Ziri » et de les adresser à : Collectif
Vérité et Justice pour Ali Ziri c/o ATMF, 26 boulevard du Général-Leclerc,
95100 Argenteuil.
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