« Une partie de la gauche espérait encore sa résurrection. Rêvait, sans trop y croire , que l’exécutif se résoudrait à saisir le Parlement pour mettre la droite face à ses responsabilité et montrer qu’il essaie de tenir ses promesses » écrivent Les Echos.
Même cela, cette démonstration-là, qui était pourtant
le minimum du minimum en la matière, le gouvernement l’abandonne. Le vote des
étrangers, serpent de mer du PS, vieux
de plus de trente ans, restera dans la mer.
Pleutres devant les puissants auxquels il est lié,
Hollande et son gouvernement le sont même devant leur ombre.
Ce droit de vote, pourtant minimal et évident, les
étrangers qui paient des impôts et contribuent à la richesse du pays,
attendront.
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